La conjoncture (météo) est sombre, mais pas assez pour décourager 15 partisans (du vélo) dont 3 féminines de se réunir sur la place Jean-Moulin. Il s'agit de choisir pour quel programme ils vont rouler. Foin des divisions, il faut jouer l'unité. Donc un seul groupe pour un parcours consensuel : la Dombes. Pas de lyrisme excessif, chacun sachant que ses espoirs peuvent être douchés d'un moment à l'autre…
Démarrage des cyclos dans l'allégresse puisque la main invisible d'Éole les pousse gentiment sur le plateau pour traverser Mionnay, Romanèche, Cordieux et atteindre Le Montellier, village ami cher à nos cœurs. Pas âme qui vive ce jour et pas (encore) d'eau courante gratuite pour les pèlerins de notre genre. Déjà l'austérité ?
Un cyclo prend la tangente tandis que les autres prennent un petit en-cas pour se regonfler le moral pendant la pause. Car il est clair que la phase "pain blanc" du programme est derrière nous. Devant nous pour aller à Sainte Croix : du vent fort, des nuages noirs qui s'amoncellent, et de rudes efforts pour garder la cohésion du groupe dans le sillage des meilleurs.
La tension se calme pour rejoindre Jailleux mais là, grosse scission puisque 6 cyclos estimant avoir beaucoup donné choisissent de rentrer par Romanèche. Les 8 autres montent aux Granges par le Chemin des Moines et sont récompensés sur le plateau par une pluie cinglante qui se fait un plaisir de les accompagner avec assiduité. À l'embranchement de Beynost, pas l'ombre d'une amélioration, et c'est à l'unanimité qu'un des points-clés du programme (la descente de la Côtière) est bien à regret abandonné.
Nous filons donc vers Tramoyes et Les Échets, le nez dans le guidon puisqu'il n'y a rien à voir sinon la chaussée ruisselante. Et c'est quand nous nous approchons du but que la pluie se raréfie, que le ciel se dégage et que nous retrouvons FSM sous une belle éclaircie à 16h30.
Si nous avions su, nous aurions pu... faire les 68 km du programme prévu au lieu des 57 km réalisés, et arriver presque secs ! Vrai qu'avec des si, n'importe quel programme est réalisable ou améliorable, surtout à posteriori !
Démarrage des cyclos dans l'allégresse puisque la main invisible d'Éole les pousse gentiment sur le plateau pour traverser Mionnay, Romanèche, Cordieux et atteindre Le Montellier, village ami cher à nos cœurs. Pas âme qui vive ce jour et pas (encore) d'eau courante gratuite pour les pèlerins de notre genre. Déjà l'austérité ?
Un cyclo prend la tangente tandis que les autres prennent un petit en-cas pour se regonfler le moral pendant la pause. Car il est clair que la phase "pain blanc" du programme est derrière nous. Devant nous pour aller à Sainte Croix : du vent fort, des nuages noirs qui s'amoncellent, et de rudes efforts pour garder la cohésion du groupe dans le sillage des meilleurs.
La tension se calme pour rejoindre Jailleux mais là, grosse scission puisque 6 cyclos estimant avoir beaucoup donné choisissent de rentrer par Romanèche. Les 8 autres montent aux Granges par le Chemin des Moines et sont récompensés sur le plateau par une pluie cinglante qui se fait un plaisir de les accompagner avec assiduité. À l'embranchement de Beynost, pas l'ombre d'une amélioration, et c'est à l'unanimité qu'un des points-clés du programme (la descente de la Côtière) est bien à regret abandonné.
Nous filons donc vers Tramoyes et Les Échets, le nez dans le guidon puisqu'il n'y a rien à voir sinon la chaussée ruisselante. Et c'est quand nous nous approchons du but que la pluie se raréfie, que le ciel se dégage et que nous retrouvons FSM sous une belle éclaircie à 16h30.
Si nous avions su, nous aurions pu... faire les 68 km du programme prévu au lieu des 57 km réalisés, et arriver presque secs ! Vrai qu'avec des si, n'importe quel programme est réalisable ou améliorable, surtout à posteriori !
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